Chapitre 4 -

Après avoir fêté leur victoire chez Robin, Guillaume et Isaac retournèrent chez eux...

Après avoir passé des heures et des heures sur le chemin du retour, enfin les chevaliers arrivèrent à leur château. Guillaume tapa sur l'épaule d'Isaac puis cria :

-L'armée de Thibaut vous envahit !

Isaac et Guillaume sortirent leurs épées et se mirent en bataille.

Les valets d'Isaac présents dans le château lancèrent des scs de sable des fenêtres et tuèrent à l'arbalète les chevaliers ennemis de l'armée de Thibaut. Les valets et

l'armée se rapetissait jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'armée ennemie, Guillaume cria : "On a réussi !"

Isaac fond en larmes et dit :

"Enfin, enfin j'ai vengé Maria ! Au diable Thibaut !"

Puis ils retournèrent à leurs occupations habituelles, joyeux, croyant que tout était fini...

Mais ce n'était pas complètement fini, ne pas se réjouir trop vite comme on dit !

Sortant d'une forêt, Thibaut surgissa, voyant que son équipe a échoué, déçu, alla chercher un peu d'aide. La nuit tomba sur le petit village, Robin, Guillaume et

Isaac s'endormirent profondément pendant que Thibaut complota son nouveau plan avec le plus célèbre des brigands, David le Macabé.

Le méchant Thibaut alla le rencontrer dans une auberge où il travaillait.

Le chevalier poussa la porte et aperçut David qu'il lui parlait en allumant d feu dans la cheminée.:

-Bien le bonsoir jeune chevalier ! Que puis-je faire pour vous servir ?

Thibaut en hésitant :

-Euh non rien ! Ce serait plutôt pour autre chose...

David étant surpris :

-Ah ! Mais ici, c'est une auberge, qu'est-ce qu'il y a alors ?

Thibaut répondit :

-Il y a un ennemi pour lequel je donnerai n'importe quoi pour l'éliminer... Mais il a réduit mon armée et je n'ai plus aucun pouvir pour le réduire à néant, voilà

pourquoi je suis venu vous voir...

David répondit :

-D'accord, j'accepte mais il ne faudra faire aucune erreur car je risque d'être brulé vif.

Thibaut, fou de joie, dit :

-D'accord, alors on commence dès demain au lever du soleil.

Il serrèrent leurs mains et conclurent leur marché.